Soupes partagées : le conte de la soupe au caillouConte populaire qui existe en de nombreuses versions. Très présent dans la culture orale européenne, il a toujours pour principe une soupe cuisinée avec un ingrédient qui n'a habituellement pas sa place dans l'art culinaire ! Selon les versions, il peut s'agir d' une pierre, d' un clou, d' un bouton, ou d' une hache (version russe)... Une version de ce conte :Un personnage arrive dans un village. Il a faim mais personne ne lui ouvre sa porte. Il demande alors juste de quoi faire une “soupe au caillou”, ce qui intrigue les villageois. Chacun apporte alors un aliment pour mettre son « grain de sel » dans la recette et c'est une bonne soupe collective qui est ainsi préparée et partagée. Parfois cette préparation se passe sur la place du village et tout le monde y participe. C'est un conte porteur de messages qui font réfléchir : l'idée qu'on peut se tirer d'une situation difficile par la ruse et que, même si on possède peu, en partageant des petits « riens », on peut faire un grand tout. Selon les versions, différentes valeurs sont mises en avant. A Gurunhuel : Vous me direz : "Drôle de nom pour une fête du partage et de la solidarité !?" mais comme le disait (souvent) le receveur du Bureau Local du Service Public des Mots d'Amour (je m'en souviens bien) : " les cailloux, il y a ceux qu'on jette aux chiens et ceux qu'on s'aime en partage dans la soupe" !
Je l'ai déjà dit ici mais je confirme que le Bureau Local fournira LE caillou et puis aussi la bière et autres mignardises ... Deux recommandations pour que la fête soit réussie : Et donc, comme le dit la formule célèbre de notre Ministère de l'Amour,
Je vous embrasse bien fort en attendant de vous serrer la louche (j'adore ce mo...) le 1er novembre ! |